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ANNE-MARIE JAVOUHEY
Fondactrice de la congrégation des Soeur de Saint-Joseph de Cluny.

« La croix est plantée sur tous les chemins

où passent les serviteurs de Dieu »

Luttant contre les obstacles qui ont parsemé sa route, elle affirmait que :

Anne-Marie Javouhey naît le 10 novembre 1779 à Jallanges (Côte-d'Or) en Bourgogne, en France, au sein d'une famille qui comptera dix enfants, dont quatre décéderont jeunes. En pleine Révolution française, elle se consacre à Dieu lors d'une messe clandestine. Adolescente, elle instruit les enfants pauvres de son village de Chamblanc et des alentours. Elle catéchise également et prie longuement devant l'oratoire familial qui se trouve dans le jardin.

 

Après avoir cherché sa voie auprès de congrégations religieuses, elle est encouragée par l'évêque d'Autun à rédiger en 1804 les règles d'une nouvelle union pieuse regroupant autour d'elle quelques jeunes filles, ainsi que ses trois sœurs, qui prononcent leurs vœux ensemble à l'église Saint-Pierre de Chalon-sur-Saône, en 1807. C'est la naissance d'une congrégation nouvelle, sous le patronage de Saint Joseph, pour s'occuper d'enfants pauvres.

En 1809, elle s'installe au grand séminaire d'Autun (actuel lycée militaire d'Autun) des classes mixtes afin de pourvoir à l'éducation des enfants issus du milieu pauvre.

 

En 1812, la congrégation s'installe dans l'ancien couvent des Récollets de Cluny, devenu bien national, qui est racheté par Balthazar Javouhey pour ses filles. La congrégation prend désormais le nom de Saint-Joseph de Cluny. La congrégation qui a pour but l'éducation va se faire remarquer à Paris pour sa qualité. C'est ainsi que les missions outre-mer vont démarrer en 1817. C'est, chronologiquement, le premier ordre de femmes missionnaires.

 

Elle établit des fondations en France et envoie des religieuses à l'île Bourbon en 1817, au Sénégal en 1821, en Martinique et en Guinée en 1822, en Guadeloupe en 1823

 

En 2010, les Sœurs de Saint-Joseph de Cluny sont plus de 3 000 sur les cinq continents.
 

Mère Anne-Marie Javouhey décède le 15 juillet 1851 à Paris. Elle a été béatifiée par Pie XII en 1950.

 

Elle est fêtée le 15 juillet.

HISTOIRE DE L'INSTITUTION

MERE MARIE-JOSEPH

Directrice de l'Institution

de xxxx à xxxx.

Présentation
Histoire de l'Institution
Réglement intérieur
L'Equipe de Direction
Taux de réussite aux examens

Pour la rentrée scolaire de novembre 1939 s’ouvrait, à l’angle de l’avenue Maginot (devenue avenue Lamine Gueye) et de l’avenue de la République, l’Institution Sainte-Jeanne-d’Arc. Les bâtiments ne sont pas encore achevés et les 9 religieuses qui vont encadrer les élèves ne pourront s’y installer que le 2 janvier 1940 avec quelques pensionnaires.

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LES ORIGINES

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Cette construction correspondait alors à un réel besoin dû à l’augmentation sensible du nombre des élèves. Mais l’école Jeanne-d’Arc existait depuis longtemps : malgré l’interdiction des écoles congréganistes depuis 1904, les sœurs de Saint-Joseph-de-Cluny avaient ouvert une petit école « clandestine » à la rue Parchappe. En 1914, cette école avait 43 élèves de 3 à 13 ans. C’est en 1920 qu’elle prend le nom d’Ecole Jeanne d’Arc, afin d'insuffler audace et courage aux jeunes élèves.

D’ailleurs, après la guerre, l’orphelinat-ouvroir devenu également une véritable école dût abandonner la rue Parchappe et se transporter à la

Médina.

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LES DEBUTS DE L'INSITUTION A SON EMPLACEMENT ACTUEL

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Le but était d’ouvrir une école secondaire pour jeunes filles. Dans la réalité, les élèves suivaient déjà un enseignement secondaire à la rue Parchappe : il y avait une 6e, une 5e, une 4e et une 3e. Il semble d’après les témoignages qu’en 1938, 3 ou 4 élèves étaient même partis au lycée après avoir fait une seconde à la rue Parchappe.

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C’est en 1938 que la supérieure des sœurs de Cluny au Sénégal, mère Augustin, et sœur Marie-Joseph, demandent à l’administration l’autorisation d’ouvrir un cours secondaire rue Parchappe. Autorisation accordée par le gouverneur le 19 décembre 1938. Le bulletin des sœurs rapporte : « La mosaïque des pavillons et cours de la rue Parchappe s’avéraient insuffisants pour contenir le peuple enfantin dont le nombre augmentait sans cesse ».

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Mais l’installation est retardée, le médecin chef du service d’hygiène de Dakar ayant refusé le certificat d’habitabilité provisoire demandé : les travaux sont loin d’être achevés ; adduction d’eau et branchement à l’égout ne sont pas effectués ; le « sous-sol à l’extrémité de l’avenue Maginot est inondé et ne peut être utilisé.

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Le 5 novembre 1939, l’occupation « uniquement à l’usage des classes, entre 6 heures et 18 heures est accordée », pour les locaux terminés seulement. Le certificat d’habitabilité définitif ne date que du 9 juillet 1940. Il est certain que les bâtiments de l’époque n’étaient pas aussi importants que maintenant ; il n’y avait que le grand bâtiment qui fait l’angle et où se trouvent aujourd’hui les classes primaires (sans la partie du préau du primaire) ; l’internat et le logement des sœurs se trouvaient au dernier étage.

En janvier 1940, l’école compte 185 élèves du jardin d’enfants à la seconde, dont 8 pensionnaires....

L'EQUIPE DE DIRECTION

MERE PAULE



" Alors que la vie scolaire s'égrène régulièrement et de manière répétitive de septembre à juillet, celle-ci s'inscrit à la fois dans les souvenirs de chacun et dans leur substrat : La communauté éducative, réalisant le slogan inscrit sur un mur : ENSEMBLE.
Ensemble nous a été révélé le champ des sciences. 
Ensemble nous avons créé un univers poétique et plastique. Ensemble nous avons mûri dans les démarches de recherche. Ensemble nous avons prospecté le milieu des entreprises. Ensemble nous sommes entrés dans le développement durable. Ensemble nos horizons spirituels se sont élargis.

Que cet ensemble d'images réjouisse le coeur de tous car chacun est devenu autre au sein de "notre maison". Il a grandi en humanité."

LE REGLEMENT INTERIEUR DE L'ETABLISSEMENT

L’Institution Sainte Jeanne d’Arc est un établissement bi-culturel qui enracine ses valeurs dans les statuts de l’Enseignement Privé Catholique.

L’Institution est sous la tutelle de la Congrégation Saint Joseph de Cluny,

du Ministère de l’Education Nationale Sénégalais et de l’Agence pour l’Enseignement Français à l’Etranger.

L’inscription d’un élève vaut adhésion au règlement intérieur et engagement à le respecter. Tout manquement à ce règlement justifie la mise en œuvre d’une procédure disciplinaire.

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 TAUX DE REUSSITE AUX EXAMENS

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